Les retrouvailles de l’homme avec l’énergie verte font ressortir de nombreux procédés permettant de tirer le meilleur des ressources renouvelables. 

Une bonne partie du genre humain tend en effet à renouer avec la nature en considérant les énergies renouvelables comme une priorité absolue, tout en agissant en conséquence. Encore faut-il connaître l’ampleur d’un tel engagement et rehausser le niveau d’intérêt des consommateurs.

Perception de l’implantation des énergies vertes. 

Même si elle est encore peu appréciable par une large partie du monde, la baisse actuelle des coûts des dispositifs de production d’énergie renouvelable marque une avancée majeure dans le développement du secteur. A titre d’exemple, on estime que, de moins de 45 euros maximum le MWh il y a 2 ans, le prix de l’énergie solaire est aujourd’hui d’environ 23 euros/MWh . L’éolienne poursuit également presque la même allure de baisse… Bien entendu, l’attitude des consommateurs finaux est à la source d’une telle évolution. Mais la réactivité des entreprises productrices est aussi le fer de lance de cette industrie, en proposant en avance un prix d’engagement très conséquent. D’après les données d’Eurostat, la production d’énergie renouvelable en Europe accroit de 5,6% par an depuis 2004. Et la part des énergies renouvelables dans la consommation intérieure brute sur le Vieux Continent tourne autour des 30 % en moyenne en 2014, et tend à augmenter chaque année. Des informations qui mettent tout le monde d’accord sur l’essor fulgurant des ressources renouvelables !

Quel horizon pour les énergies renouvelables ? 

Les énergies vertes ont donc la côte partout. La France, quant à elle, table sur une transition énergétique assez courte et un basculement rapide vers les énergies renouvelables. Par exemple, l’État entend faire passer de moins de 20% aujourd’hui à 40% en 2030 la production électrique issue des ressources renouvelables… Cependant la vitesse d’exploitation de ces ressources naturelles reste  relative d’un pays à l’autre. En effet, si les volontés politiques sont présentes et agissantes un peu partout, les moyens de mise en œuvre peuvent être limités. Par exemple en Afrique où les terres sont vastes, l’implantation du solaire ou de l’éolienne reste poussive. Même dans les pays occidentaux, en Allemagne par exemple, on peut faire face à une limitation du périmètre d’implantation, réduisant la capacité à étendre les réseaux. Quoi qu’il en soit, la révolution est bel et bien en marche. Même si le bout du tunnel de la transition énergétique n’est pas encore visible à l’horizon, chacun s’y met à sa façon, des petits  ménages qui font leurs les réformes énergétiques aux industriels qui visent à rendre les équipements abordables.